On a beau chanter, qu’au Maroc, les annees de plomb, de l’arbitraire sont révolues. Mais ces qualifications sont généralement consacrées au champ politique. Dans la vie de tous les jours, l’arbitraire continue à faire office de système. L’histoire de Ait Sirahal en témoigne. Cet émigré en France a eu une altercation avec une personne dans un café, à Marrakech, où il passait ses vacances, la veille de son retour à son pays d’adoption. Quelques heures plus tard, il est décédé dans un commissariat après avoir été torturé… L’autre personne, elle, est relâchée car elle connaît des notables de la ville…
Le pire est que le commissaire, reconnu assassin de la victime, travaille toujours comme si de rien n’était. Lire les liens en bas de page de l’article en question pour en savoir plus sur le ridicule traitement de l’affaire par la justice, la parodie de justice plutôt.
Voilà qui nous fait rappeler, que dans certains aspects de la vie quotidienne, nous vivons toujours dans le moyen age. Il est fort à parier que la victime a été « lynchée » à cause (ou « grâce », du point de vue des tortionnaires !) des connaissances au haut niveau de l’autre protagoniste de la dispute.
Le pire est que le commissaire, reconnu assassin de la victime, travaille toujours comme si de rien n’était. Lire les liens en bas de page de l’article en question pour en savoir plus sur le ridicule traitement de l’affaire par la justice, la parodie de justice plutôt.
Voilà qui nous fait rappeler, que dans certains aspects de la vie quotidienne, nous vivons toujours dans le moyen age. Il est fort à parier que la victime a été « lynchée » à cause (ou « grâce », du point de vue des tortionnaires !) des connaissances au haut niveau de l’autre protagoniste de la dispute.
Arbitraire, Clientélisme, Impunité : voici la « trilogie » gagnante pour les uns, celle qui hante la vie pour les autres. Pour des millions d’autres. Pour la racaille.