Comment ne pas être choqué, ne pas avoir froid au dos en assistant, ce week-end, à ce reportage d’Aljazeera, faisant état du décès de 27 personnes dans un village (Anfgo) près de Khenifra suite à une vague de froid terrible, et surtout au manque de conditions décentes pour … survivre.
Il a raison le reporter d’Aljazeera quand il fait remarquer que tout visiteur à ce village se croirait dans une autre époque, tellement les habitants vivent dans des conditions inhumaines. Ces derniers ne comprennent pas que les autorités n’utilisent les profits engendrés par la Foret du riz à coté pour construire une route menant à leur village. Route qui, à l’heure actuelle, fait tragiquement défaut quand il y a besoin urgent de secourir des malades. Quant à la demande de construction d’un dispensaire pour le village, cela s’apparenterait sans soute au blasphème…
Les autorités, comme toute réponse, ont contesté le nombre de 27 victimes, se limitant à 11. Elles ont été contredites par les habitants du village eux même qui pleuraient leurs morts. Pathétique. D’ailleurs ça aurait pu être 100 ou plus; Mrs les « autoritaires » auraient-ils pu sauver qui que ce soit ?
Dans le reportage, on pouvait voir des gens manquant de nourriture, des enfants de 3 ou 4 ans marchant les pieds nus sur … la neige. Ils n’avaient rien. Et dire que c’est un village parmi tant d’autres.
Et dire qu’on parle tant des droits de l’homme. Le premier des droits de l’homme est de restituer leur dignité à des gens comme les habitants d’Anfgo.
Il a raison le reporter d’Aljazeera quand il fait remarquer que tout visiteur à ce village se croirait dans une autre époque, tellement les habitants vivent dans des conditions inhumaines. Ces derniers ne comprennent pas que les autorités n’utilisent les profits engendrés par la Foret du riz à coté pour construire une route menant à leur village. Route qui, à l’heure actuelle, fait tragiquement défaut quand il y a besoin urgent de secourir des malades. Quant à la demande de construction d’un dispensaire pour le village, cela s’apparenterait sans soute au blasphème…
Les autorités, comme toute réponse, ont contesté le nombre de 27 victimes, se limitant à 11. Elles ont été contredites par les habitants du village eux même qui pleuraient leurs morts. Pathétique. D’ailleurs ça aurait pu être 100 ou plus; Mrs les « autoritaires » auraient-ils pu sauver qui que ce soit ?
Dans le reportage, on pouvait voir des gens manquant de nourriture, des enfants de 3 ou 4 ans marchant les pieds nus sur … la neige. Ils n’avaient rien. Et dire que c’est un village parmi tant d’autres.
Et dire qu’on parle tant des droits de l’homme. Le premier des droits de l’homme est de restituer leur dignité à des gens comme les habitants d’Anfgo.
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