Hmm, on peut mourir à trop pratique des jeux sur ordinateur, ou se retrouver en prison si on fait circuler des virus sur le web, comme cela vient d’arriver à notre compatriote Farid. J’ai regardé par hasard, il y a quelques jours, une émission sur le hacking et comment les hackers pouvaient entrer dans les disques durs sont que leurs propriétaires ne s’en rendent compte. L’un des moments forts de l’émission, à mon avis, est quand l’un des interviewés critique Microsoft, en lui reprochant de vendre ses produits sans se soucier des garanties sécuritaires. Il ajoute que, dans les divers domaines, industriels ou non, il existe des conditions sur la qualité du produit à vendre, qu’il faut respecter, mais pas en informatique. Bon point.
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mardi 30 aout 2005, 19h22
Les auteurs présumés de Zotob sous les verrous
Deux hommes, auteurs présumés du virus Zotob, ont été identifiés grâce aux investigations du FBI et mis sous les verrous au Maroc et en Turquie.
Deux hommes, auteurs présumés du virus Zotob, ont été identifiés grâce aux investigations du FBI et mis sous les verrous au Maroc et en Turquie. Il s'agit d'un jeune marocain de 18 ans, Farid Essebar, et d'un Turc de 21 ans, Atilla Ekici. Les enquêteurs américains étaient sur le coup depuis le mois de mars et l'apparition d'un premier virus, Mytob.
En coopération avec Microsoft et les autorités policières des deux pays concernés, ils sont parvenus à déterminer qu'Essebar a créé à la fois Mytob et Zotob, et les a ensuite vendus à Ekici. «Nous pensons qu'Essebar en a tiré un gain financier», a expliqué l'un des directeurs du FBI.
Les deux suspects seront jugés dans leur pays respectifs. Les chefs d'inculpation n'ont pas encore été définis, mais l'agence américaine participe activement à monter le dossier à charge, tout en cherchant à déterminer si d'autres complices sont impliqués.